Pourquoi la méthode Seignalet, mais pas que ? Acte 2/2

Dans l’acte 1, je vous ai brièvement exposé la méthode Seignalet, je reviens pour vous livrer mon avis.

Comme je vous l’avais dit dans l’article précédent, les résultats ont été au rendez-vous pour moi. A souligner que, durant 2 années, j’ai rigoureusement respecté les recommandations.Je ne consommais plus de gluten, aucune céréale mutée, seul le riz, quinoa et sarrasin,plus de laits animaux et dérivés(beurre, yaourt, fromage, crème), plus de charcuterie, pas de boissons sucrées ni alcool. J’ai tout supprimé, enfin ce qui était suggéré sur la liste établie par le Dr Seignalet. J’ai augmenté ma consommation de fruits et légumes crus. Un livre de recettes exclusivement crues m’a aidé à débuter car les recettes en fin d’ouvrage ne m’ont pas inspiré. Sinon, je cuisinais exclusivement à basse température (achat en 2010 de l’omnicuiseur vitalité). Ensuite, j’ai ajouté des jus de légumes (2014)et de fruits frais (extracteur) , et depuis 2015, je poursuis la cuisson vapeur douce mais avec le vitaliseur de Marion.

Tout s’est mis en place petit à petit et surtout à partir du moment où j’ai pris la décision d’arrêter mon traitement allopathique , ce n’est surtout pas un conseil que je vous donne, cela n’engage que moi .

Petite parenthèse sur la raison qui m’a amené à stopper mon traitement. J’avais passé les 4 années plus souvent couchée que debout 😁. Ras le bol…il était clair que dans ma pensée, un médicament devait guérir (mon statut de déléguée pharmaceutique devait y être en partie responsable 😁) et non pas me réduire à l’état de poupée de chiffon, que dis-je, à l’état de marbre, tellement mon corps était « contracturé », contracté, raide. Ce que je constatais depuis toutes ces années c’était que mon état de santé se détériorait.

En effet, avant 2005 je n’avais pas de souci de santé particulier hormis un rhume parfois mais c’était extrêmement rare, j’avais toujours la pêche. A partir de mai 2005, les douleurs se sont installées mais j’étais peu fatiguée. Par contre, à partir de juillet 2007, tout à changé, le diagnostic était posé et je débutais mon traitement allopathique, les doses augmentaient ainsi que douleurs et raideurs au fil des mois et le plus catastrophique c’est que je récupérais tous les virus qui passaient…. résultat : du petit mal de gorge à l’œdème où je ne pouvais quasi plus respirer tellement ma gorge était douloureuse et enflammée, avec l’obligation d’aller en catastrophe chez SOS médecins. J’étais tout le temps enrhumée. En un an, ma capacité respiratoire avait fortement chutée, le pneumologue n’en revenait pas, il m’a fait des tests à deux reprises pensant que je faisais semblant de souffler, que je ne me forçais pas, lui qui avant le début du traitement m’avait fait des tests respiratoires normaux, il me diagnostiquait un asthme important un an après. La succession de ces péripéties m’a amené à la question suivante. « Comment est-ce possible d’être beaucoup plus malade après la prise d’un traitement, après un an, après deux ans ? ». En effet, plus les doses augmentaient plus je m’affaiblissais, les injections douloureuses n’étant d’aucune utilité je décidais donc d’arrêter, ce qui était à mes yeux, un massacre. Une dernière conférence audio prise au vol (belle synchronicité) sur internet, d’un Professeur spécialisé dans cette pathologie me décida fermement. Pour la faire courte, j’y découvrais que les traitements testés sur moi durant ces deux années étaient inefficaces. C’était expliqué ouvertement. Lors de mon dernier rendez-vous chez le rhumatologue, alors qu’il voulait me proposer un énième traitement qui engageait trente pour cent de probabilité de développer un cancer de la peau et des risques d’infection pulmonaire importante, je lui rapportais mes trouvailles, et ma décision d’arrêter de venir le voir. C’est peut-être blessé dans son orgueil qu’il s’est permis de me lancer  » Si vous préférez finir en chaise roulante, faites comme vous voulez! » La réponse dont tout patient rêve de la part d’un médecin spécialisé. Je lui ai juste répondu que j’avais déjà programmé un prochain rendez-vous avec un Professeur spécialisé dans cette pathologie pour avoir un dernier avis. Il s’est donc radouci car apparemment ils se connaissaient. Avec mon système immunitaire qui était réduit à néant, je répartis de zéro, en tirant sur le fil de la pelote de laine. J’ai donc entrepris de parcourir un chemin différent afin de me faire ma propre expérience.

Diverses rencontres m’ont conduite vers la phytothérapie.Alors en juin 2009 exactement, j’ai commencé à me supplémenter quotidiennement en aloé vera « vivante » 🤸‍♀️.Lorsque les douleurs étaient présentes, j’utilisais des patchs d’acupressure qui fonctionnaient très bien. Je me tournais vers les huiles essentielles. A partir de septembre, je me suis inscrite à des cours de yoga à raison de deux fois par semaine, un yoga doux. Comme je vous l’ai écrit dans le post précédentActe 1, au bout de 2 ans,tout allait pour le mieux, tout ce déroulait parfaitement bien, je ne souffrais plus.

Pour moi, la méthode, la diète, le régime Seignalet, appelez-la comme ça vous fait plaisir , m’a été totalement bénéfique. Une nouvelle gymnastique à acquérir au départ avec le tri dans le placard de la cuisine, mais totalement satisfaite.

L’alimentation a été la clé qui m’a permis d’ouvrir un verrou de la porte vers la rémission, mais c’est une porte à multiples verrous. Il m’a fallu apprendre à gérer mon stress (yoga au départ), à revoir ma façon de percevoir la vie, à prendre mes responsabilités par rapport à la maladie.

Etant curieuse de nature et  expérimentatrice dans l’âme, j’ai choisi d’avancer sur mon chemin de vie, et me suis lancée dans l’aventure.

J’ai donc débuté par la phytothérapie, suivi par l’alimentation, le yoga. J’ai continué à creuser, j’ai eu besoin d’aller voir ce qu’il se passait plus loin🦓.J’ai pu reprendre un travail à temps complet, enfin j’en ai essayé plusieurs différents mais qui généraient toujours du stress chez moi. J’ai consulté différents thérapeutes, le début d’un long travail personnel qui est loin d’être fini😜. J’ai appris à gérer mon stress avec de formidables outils 🧚‍♀️et de fil en aiguille je me suis formée à titre personnel pour accompagner à mon tour. Il faut dire que travaillant pour un labo de phytothérapie-compléments alimentaires, j’avais l’opportunité de faire de belles rencontres au quotidien avec des synchronicités de ouf🤩.J’avais un secteur très étendu…et aussi incroyable que cela puisse paraître j’ai toujours été guidé. C’est grâce à certaines de ces rencontres que j’ai été amené tout naturellement à travailler sur mon arbre généalogique.🌳👨🏽‍🦳👵🏻✍🏻 .

D’ailleurs je remercie de tout cœur 💓, toutes ces personnes 🙏.

Je vous expliquerai dans un prochain poste pourquoi j’ai été amené à travailler sur mon arbre et ce que cela a changé.💫✨🧚‍♀️🦓